vendredi 18 juillet 2014

2014-07-18 - Livinhac / Figeac - 25,5 / 252,5

18 juillet 2014 - Livinhac / Figeac - 25,5 / 252

En regardant de près cette photo, il y a un profond changement dans le maisons : les toits sont rouges.

Étape du jour

Afin d'éviter la forte chaleur, j'essaye de partir un peu plus tôt, soit à 7.45. La température est alors de 16 ° ce qui est correcte.


J'arrive à Figeac tranquillement à 15.15, sous un soleil de plomb et une température de 33° comme la vielle.

Mais l'étape a été plus facile:
- j'ai bu 4 litres d'eau
- le dénivelé cumulé était de 330 à la montée et à la descente, donc facile
- une grande partie du parcours s'effectue à l'ombre 
- je me suis octroyé une petite pause de plus d'une heure le midi à l'ombre d'une tonnelle dans un gîte très agréable, plein de gentillesse et avec une salade excellente (certe le démarrage de l'après-midi a été un peu rude). C'est la grange de Bord.

Donc les 25 kms se sont plutôt bien passés. 


Et nous sommes dans le 46, département du Lot

Petit quizz !
Depuis mon départ j'ai traversé :
- le 42.....? Loire - Saint Étienne
- le 48.....? Lozère - Mende
- le 12....? Aveyron - Rodez
- le 46 ....? Lot - Cahors


 Un peu de culture

Jean-François Champollion





L'histoire dit que le jeune Jean-François apprit à lire seul dans le missel de sa mère, au coin de la cheminée familiale à Figeac. Mais c'est réellement à l'adolescence, lorsqu'il eut rejoint sont frère aîné à Grenoble, que son goût pour la connaissance de l'antiquité se développe en une véritable passion, et qu'il éprouve alors le besoin de lire des livres des Anciens dans leur langue d'origine. A 17 ans il se rend à Paris et s'inscrit au Collège de France et à l'école des langues orientales pour étudier les langues et écritures du Moyen-Orient, parmi lesquelles l'hébreu,l'arabe, l'araméen,le copte, le persan, l'éthiopienne, le sanskrit....
Champollion fonde ses premiers travaux sur l'inscription de la pierre de Rosette, mais il bute rapidement sur la nature même des signes et il étend alors ses études à des centaines d'autres manuscrits égyptiens de toutes époques. Pendant une douzaine d'années, entre 1810 et 1822, il mène ses recherches avec passion et persévérance ; il tâtonne, avance à petits pas, mêle intimement idéogrammes et caractères phonétiques, hypothèse que personne n'avait osé formuler avant lui.




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